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JD Vance, Vice-Président catholique des Etats-Unis
JD Vance, Vice-Président catholique des Etats-Unis

La Conférence des évêques catholiques des États-Unis s’inquiète des « coûts humanitaires » de l’application de la loi sur l’immigration. DJ Vance, le vice-Président catholique, leur répond sans demi-mesure.

Les évêques catholiques américains restent bien alignés sur la doxa bergoglienne de l’accueil des migrants quels qu’en soient les « coûts »

Les évêques catholiques américains, toujours imprégnés de cette doctrine conciliaire progressiste tant dans le domaine religieux que civil, restent bien alignés sur la doxa bergoglienne de l’accueil des migrants à tous les prix, même au prix de la sécurité, de la vie de la nation, de la paix civile… Et le font savoir à l’administration Trump qui prend les rênes de la gouvernance des États-Unis.

La Conférence des Évêques catholiques des États-Unis (USCCB) a ainsi publié deux déclarations au sujet de la question des « migrants ».

L’une sur son partenariat de longue date avec le gouvernement fédéral pour « assister les immigrants et les réfugiés » et ses craintes quant aux nouvelles lois anti-immigration. Elle rappelle que depuis « 1980, les évêques des États-Unis ont commencé à s’associer au gouvernement fédéral pour mener à bien ce service lorsque le Congrès a créé le programme d’admission des réfugiés aux États-Unis (USRAP). (…) Dans le cadre de nos accords avec le gouvernement, l’USCCB reçoit des fonds pour effectuer ce travail ; cependant, ces fonds ne sont pas suffisants pour couvrir l’intégralité du coût de ces programmes. Néanmoins, cela reste une œuvre de miséricorde et de ministère de l’Église. »

La Conférence des Évêques catholiques des États-Unis (USCCB) a ainsi publié deux déclarations hostiles aux nouvelles dispositions anti-immigration de Trump

L’autre en réponse à la mesure prise par l’administration Trump annulant les directives relatives aux « zones protégées » (écoles, temples, hôpitaux) dans le cadre de l’application des lois sur l’immigration, dans laquelle les évêques considèrent qu’en aidant les « réfugiés » ils défendent « la croyance que tous les êtres humains sont conçus avec une dignité inhérente, reflétant l’image de Dieu. Par nos paroisses, nos refuges, nos hôpitaux, nos écoles et d’autres institutions de l’Église, nous reconnaissons que cette dignité ne dépend pas de la citoyenneté ou du statut d’immigrant d’une personne ».

Leur déclaration se poursuit par une attaque en règle contre les mesures fermes anti-immigration décidées par l’administration Trump :

« Nous reconnaissons la nécessité d’une application juste des lois sur l’immigration et affirmons l’obligation du gouvernement de les appliquer de manière ciblée, proportionnée et humaine. Cependant, l’application non urgente des lois sur l’immigration dans les écoles, les lieux de culte, les agences de services sociaux, les établissements de santé ou d’autres lieux sensibles où les personnes reçoivent des services essentiels serait contraire au bien commun. (…) Nos organisations sont prêtes à œuvrer pour trouver une meilleure voie à suivre qui protège la dignité de tous ceux que nous servons, respecte le devoir sacré de nos prestataires et garantit que nos frontières et notre système d’immigration sont régis avec miséricorde et justice. »

Par miséricorde et justice, il faut entendre un laxisme intellectuel et progressiste envers le migrant qui a tous les droits au-dessus des natifs des États-Unis.

JD Vance, le vice-Président catholique des États-Unis, leur a répondu de se préoccuper plutôt du « coût humanitaire » des enfants victimes de trafic sexuel à cause de l’ouverture des frontières

Au cours d’un entretien à la grande chaine d’informations CBS, JD Vance, le vice-Président catholique des États-Unis, leur a répondu sans crainte de paraître « méchant » :

« Je pense que la Conférence des évêques catholiques des États-Unis devrait se regarder dans le miroir et reconnaître que lorsqu’elle reçoit plus de 100 millions de dollars pour aider à réinstaller les immigrants illégaux, s’inquiète-t-elle des problèmes humanitaires ou s’inquiète en réalité de ses résultats financiers ? »

Et il ajoute cette phrase si accusatrice envers l’inaction coupable de ces évêques conciliaires :

« Si la Conférence des évêques catholiques des États-Unis s’inquiète des « coûts humanitaires » de l’application de la loi sur l’immigration, qu’elle parle des enfants victimes de trafic sexuel à cause de l’ouverture des frontières, des gens comme Laken Riley ».

Voilà qui est dit et bien dit !

Francesca de Villasmundo

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